Chemins de Tolérance – Lectures publiques de théâtre contemporain

Manifestation soutenue par les Ecrivaines et écrivains associés du Théâtre

Commandes d’écriture La fabrique de l’Histoire

Magali Solignat Charlotte Boimare Hugo Valat Manon Gineste

Magali Solignat a travaillé au sein des Scènes Nationales des Antilles-Guyane et du Var en tant que comédienne, autrice et metteure en scène. Elle est aussi clown. Ses dernières mises en scène sont L’enfant de Marie-Thérèse Picard, Irrésistible de Fabrice Roger-Lacan, Maïwenn 16 ans et demi à l’Artchipel, Scène Nationale de Guadeloupe et Le jour où mon père m’a tué, créée au Théâtre des Halles d’Avignon.

Charlotte Boimare, comédienne de théâtre, de cinéma et de télévision, a l’envie de raconter des histoires et elle compose ses propres textes.

Ensemble, elles ont écrit Touche-Moi, Le jour où mon père m’a tué, et Maïwenn 16 ans et demi. Ces textes ont été primés (prix Textes en Paroles, Etc Caraïbes SACD Beaumarchais) et créés en résidence à Artchipel, Scène Nationale de Guadeloupe et au Liberté, Scène Nationale de Toulon.

Hugo Valat, après des études de Politiques publiques en spécialité Culture à Sciences Po Paris, il retourne dans sa ville natale afin de suivre une formation en Art dramatique au sein du Conservatoire d’Avignon. Il joue le rôle de Ciccio dans Parfum de femme, adapté et mis en scène par Gérard Vantaggioli au théâtre du Chien Qui Fume dans le cadre de la Semaine d’art en Avignon en octobre 2020, spectacle repris lors du Festival Off d’Avignon en 2021 et 2022. Il poursuit une activité d’auteur dramatique, son texte Pendant ce temps, à Montréal ayant bénéficié du soutien de la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, Centre national des écritures du spectacle et ayant été sélectionné par la délégation Méditerranée des Écrivaines et Écrivains Associés du Théâtre à l’occasion du Printemps des Poètes 2022. Il se forme aussi à la mise en scène de spectacles lyriques et musicaux en qualité d’assistant à la mise en scène de Frédéric Roels à l’Opéra Grand Avignon.

Manon Gineste, native d’Aurillac sous l’égide du signe du Bélier, elle est influencée, infusée dans le printemps, par la force géologique de ce territoire et par la beauté des étés verts. Elle a commencé à écrire très jeune pour exprimer ce qu’elle n’arrivait pas à dire oralement. Après des études de lettres, d’Art et de philosophie à Paris, elle intègre le master de Création Littéraire de Toulouse où elle s’attache à un roman d’autofiction sur le thème de l’oubli et de la filiation, écrit du théâtre et plusieurs recueils de poésies. Elle pratique l’haltérophilie depuis de nombreuses années et cette activité de l’intensité lui a permis de construire un regard plus ancré sur le monde, à mesure que son corps apprend les mouvements complexes de cette discipline et la légèreté de l’acier. Se bâtir un corps pour pouvoir recevoir le chant du monde, comme une caisse de résonance ou une grotte où joue l’écho.

Lieu : cour de l’école élémentaire de Valleraugue